Déjà dix jours qu'il n'y a plus de repas pour Hatos.
Il s'en est allé au paradis des chiens.
Hatos était un bon compagnon mais aussi pour moi comme un quatrième enfant. Tous les matins et tous les soirs nous avions notre petit rituel ! Tu as bien dormi ? Fait un gros dodo mon pépère ! Que de promenades en sa compagnie nous avons fait Thierry et moi chacun a notre rythme.
Hatos avait aussi son fan club sur la presqu'île de Rhuys mais aussi sur les réseaux sociaux car nombreuses et nombreux vous me demandiez de ses nouvelles quand il n'était pas sur mes photos.
A la clinique vétérinaire nous avons fait le choix de le laisser partir doucement. Cette démarche n'a pas été facile mais nécessaire car il souffrait beaucoup. La vétérinaire à été d'une gentillesse incroyable et nous l'avons remercié et la remercions encore.